Discours de politique générale
François Bayrou trace les contours d’une nouvelle approche de la santé
Paris, le 14 janvier 2025
Le Premier ministre François Bayrou a prononcé, ce jour, un discours de politique générale ambitieux, plaçant la santé et la solidarité au centre des priorités du Gouvernement.
Fidèle à son ambition de rassemblement, cherchant à unir les forces de droite et de gauche dans un esprit de dialogue constructif, il a annoncé l’ouverture d’une nouvelle phase de discussions sur la réforme des retraites avec les partenaires sociaux. Face au déficit alarmant de la branche vieillesse (de 28,4 milliards d’euros), nous devons trouver un équilibre durable pour ne pas faire peser le poids de la dette sur nos enfants.
J’appelle de mes vœux l’intégration, dans cette discussion, d’une réflexion sur le bien-être au travail, englobant la santé physique et la santé mentale, afin de redonner tout son sens au travail.
Le Premier ministre a également dressé un constat lucide sur la crise que traverse notre système de santé. Les ajustements budgétaires, bien qu’indispensables, ne suffisent plus à répondre aux défis qui se posent (vieillissement de la population, hausse des pathologies chroniques, déserts médicaux, engorgement des urgences, …). Comme l’a souligné François Bayrou, l’annualité des ressources dédiées à la santé prive notre système de sa capacité à anticiper les besoins.
Je partage pleinement son souhait d’un financement pluriannuel de la santé. Plus encore, je souhaiterais que l’on repense notre approche de la santé, non plus axée sur le curatif, mais sur la prévention des maladies en amont de leur apparition.
La santé mentale, maintenue en grande cause nationale pour 2025, illustre les chantiers qui se dressent devant nous. Cette année, les hospitalisations pour gestes auto-infligés chez les jeunes filles ont plus que doublé depuis 2020. Cette dégradation de l’état de santé mentale de notre population appelle une réponse préventive forte et immédiate.
À l’approche de l’examen du budget de la santé pour 2025, le Premier ministre a présenté des engagements concrets pour renforcer notre système de santé. Parmi eux, une hausse de l’Objectif National des Dépenses d’Assurance Maladie (ONDAM) afin d’améliorer les conditions de travail des soignants et mieux protéger les plus vulnérables.
Notre programme de travail pour les mois à venir est tracé : nous devons redonner un second souffle à notre modèle social et replacer le bien-être de nos concitoyens au cœur de l’action publique.
Cyrille Isaac-Sibille
Ayant des idées en tête depuis des lustres que j’ai communiqué il y a fort longtemps à mon ORL d’une époque avant que celui-ci soit devenu mon Député je souhaite qu’il puisse dans celles-ci.
A cette occasion je lui ai indiqué lors de ses Vœux 2025 qu’il devait tenir compte de ma proposition suivante à savoir :
1 – Mutualisé la Santé
2 – Fusionner toutes les MUTUELLES pour qu’ils proposent un contrat d’assurances complémentaire Santé à la carte … !
3 – Ne plus couvrir dans la régime de la SS certains risques à savoir entre autres :!
A – Les accidents attachés aux loisirs qui coutent affreusement cher la SS et aux entreprises si il y a des arrêts de travail … !
B – Rendre enfin responsables les enfants qui doivent secours et assistance à leurs parents en prévoyant un retour des sommes allouées à leurs parents dans le cadre des diverses et nombreuses aides sociales.
C – Demander systématiquement aux enfants une attestation sur l’honneur stipulant qu’ils n’ont pas bénéficier de donations diverses de leurs parents » Nue propriété de divers biens » avant d’accorder toutes aides sociales a leurs parents.
D – Mettre en place un suivi annuel de la santé des enfants avec implication de l’Education Nationale.
Etc … etc… !
B – in que les citoyens souhaitant s’assurer pour des risques qui ne seraient pas couvert par le régime de la SS
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